Le 4 janvier dernier un vandale armé d’une barre de fer s’en est pris à des statues de la basilique Saint-Denis (93), des vitrines d’exposition d’objets religieux et des santons de la crèche. Si le recteur de la basilique a porté plainte, les médias mainstream, visiblement plus occupés avec Omicron et les saillies présidentielles, n’en ont pas fait état.
C’est Boulevard Voltaire qui a sorti l’information : “mardi 4 janvier, dans la matinée, un homme en survêtement s’est rendu à la basilique-cathédrale de Saint-Denis, muni d’une barre de fer, avec laquelle il a causé plusieurs dégâts matériels. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, guyanais et inconnu des services de police, se serait rendu une première fois dans la nécropole royale, où il se serait vu refuser l’accès à un espace derrière l’autel, interdit au public. Il serait revenu un peu plus tard, muni d’une barre de fer, avec laquelle il s’en est pris aux vitrines de présentation dans lesquelles sont exposés des objets religieux vendus sur place (crucifix, statuettes et autres bibelots).
Après cette première dégradation, l’homme s’en est pris à trois statues de plâtre présentes dans des chapelles, représentant Saint Denis, Sainte Geneviève et Saint Antoine. L’évêque Saint Denis a désormais la tête tranchée en biais (ce saint est mort décapité). Sainte Marie a perdu son bras droit comme Saint François. Une vitrine est brisée, et deux santons de la crèche sont cassés“.
Le marginal, toujours d’après Boulevard Voltaire, aurait été identifié – ce serait un guyanais, inconnu des services de police.