Des activistes d’extrême-gauche ont attaqué, sous couvert de lutte anti-pédophile, un sanctuaire catholique gardois qui abrite un prêtre récemment condamné par la justice pour corruption de mineurs.
Ils ont laissé sur place des collages en lettres noires sur papier blanc – du même modèle que les collages féministes d’extrême-gauche dans les villes – et des tags du style “ni oubli ni pardon”.
“La place des pédo-criminels est en prison, pas dans l’église”, “Pas de pardon”… Les collages et les tags s’étalent en grosses lettres blanches et noires sur les croix du calvaire et la route d’accès au sanctuaire Notre-Dame-de-Grâce“.
Curieusement, ils s’en sont pris à un sanctuaire catholique, et non à l’instance judiciaire qui a condamné ledit religieux à 3 ans de prison dont 18 mois ferme pour ces faits.