Réputés proches de l’ultra-gauche, les auteurs de dégradations d’églises à Montpellier sont toujours libres, comme le rappelle le Métropolitain qui revient sur l’affaire
“Le père Benoit dépose plainte contre X, lors de chaque acte de vandalisme, sans que l’enquête des policiers de la Sécurité publique ne permette l’identification des auteurs, qui opèrent dans ce lieu de paix. La police technique et scientifique a été sollicitée, des indices ont été prélevés et sont analysés. Le père Benoit officie également à la paroisse Sainte-Thérèse, sur l’avenue d’Assas, jusqu’ici épargnée.
Les curés, les paroissiens et les étudiants fidèles à la paroisse mitoyenne des campus sont en colère : « Les tags sont parfois signés antifa, mais, les auteurs courent toujours. Il n’y a pas suffisamment de caméras, la municipalité va en installer dans ce secteur. Dès qu’il y a des caméras et nous avons avancé sur ce dossier là, ça ralenti l’ardeur », relève le père Benoit sur les réseaux sociaux“.