Dans un article plein de moraline qui souhaite condamner les “ultras-cathos”, autrement dit les fidèles catholiques, tout simplement, qui se sont opposés dernièrement aux profanations de leurs églises à Nantes et Paris par un concert d’orgue d’une artiste aux créations satanistes, et ont empêché les prestations sacrilèges, Libération vient à… donner raison aux dits catholiques.
Car le plug anal sur la place de la Concorde, le crucifix dans un cadre avec de la pisse, une sorte de “vagin de la reine” en acier rouillé à Versailles et des oeuvres qui justifient la pédophilie à Marseille, cités par l’article, ont ému bien au-delà des catholiques – parents d’enfants et adolescents, amateurs du patrimoine, académiciens, infortunés habitants de Paris dont la ville est humiliée, martyrisée, outragée, par Anne Hidalgo et consorts depuis de trop longues années, et tout simplement ceux pour qui le bon sens ne doit pas être bâillonné par les modes ou les tabous ordonnés par les bien-pensants.
Antigone contre Créon, le bon sens contre la doxa, le beau, le bien et le vrai contre le business-art qui choque et annihile, les catholiques se mobilisent en effet… parce que le combat en vaut la peine.