Des catholiques qui ont tenté d’empêcher une “messe LGBT” organisée dans une église de Zurich le 19 juin dernier ont été chassés avec violence par des activistes LGBTQI+ et la police, puis diabolisés dans la presse suisse – qui affirme que l’interruption serait le fait d’un groupe d’extrême-droite.
L’incident a été diversement commenté dans le monde chrétien – le site orthodoxe ukrainien spzh relate l’affaire ainsi : “lors d’un culte LGBT dans une église catholique (!) des gens ont tenté d’y entrer (et en ont été chassés) avec une grande croix et des tracts chrétiens. Sur la croix il était écrit “non au mois des fiertés”. Ils ont essayé d’expliquer aux gens qui étaient présents que l’idéologie LGBT n’a rien à voir avec l’Eglise.
Mais ce qui en dit long, c’est la réaction de la société. Dans tous les médias suisses les interrupteurs sont traités d’homophobes et de bandits, tandis que le gay de 130 kilos qui les a chassés est présenté en héros. La police est venue protéger l’assistance jusqu’à la fin du culte, qui avait lieu lors de fêtes LGBT qui ont rassemblé plus de 40.000 personnes. Les “croyants” ont pendu dans la vieille église des drapeaux multicolores, qui formaient tous ensemble un énorme drapeau LGBT.
Pourquoi nous l’écrivons? Nous n’avons pas ce genre de problème, pour l’instant. Mais nous avons ratifié la convention d’Istanbul et l’aide européenne nous [à l’Ukraine] est vitale. Pour elle, nous sommes prêts à tout, et il nous semble que les prochaines tentatives LGBT [de s’imposer dans nos cultes] sont pour bientôt“.