Dans la nuit du 7 au 8 mai l’église Saint-Vladimir de l’église orthodoxe du patriarcat de Moscou, à Lvov, dans l’ouest de l’Ukraine, a été vandalisée. Les portes de l’église ont été collées à la mousse expansive pour empêcher les fidèles d’y célébrer la messe.
Les murs ont été couverts d’inscriptions “diables du FSB“, “maison de Poutine“, “les russes ne sont pas des hommes“.
Les nationalistes locaux se sont empressés d’affirmer qu’ils n’avaient rien à voir avec ce vandalisme – qui a été largement couvert par les médias orthodoxes et russophones, en Russie et Biélorussie notamment, et d’accuser les orthodoxes eux-mêmes d’avoir commis ces dégradations.