Début août, la croix en bois sur la tombe de l’écrivain grec Nikos Kazantakis a été vandalisée. Elle a été sommairement replantée depuis mais l’acte a suscité un fort émoi localement – la Crète étant la partie la plus pratiquante de la Grèce – presque monobloc orthodoxe (à plus de 90%), même si le catholicisme connait un récent regain.
Source : National Herald