Le vandale armé d’une barre de fer qui a attaqué et détruit, le 4 janvier dernier, trois statues et deux santons de la basilique Saint-Denis en Seine-saint-Denis a été arrêté et sera jugé le 24 février.
Bien que la paroisse ait porté plainte, elle n’a pas souhaiter médiatiser les faits, mais l’information a tout de même été sortie par un site d’information indépendant, Boulevard Voltaire, puis par les médias russes présents en France, RT notamment, avant de faire le tour des autres médias.
Une médiatisation que le diocèse semble vouloir regretter et minimiser : “il s’agit de l’acte isolé d’une personne fragile. Nous regrettons que certains se soient emparés de ce fait divers pour en faire ce qu’il n’est pas. Aucune parole, aucun geste de menace n’a été proféré“, indique le diocèse dans le Figaro, ajoutant que les statues “se sont fracturées en tombant” et “ne représentent pas de valeur patrimoniale“.
Sans commentaire.