Le 27 février dernier, une responsable de la communauté protestante de Saint-Antoine de Breuilh (Dordogne) venue préparer les obsèques d’une paroissienne a constaté que trois fenêtres du temple, non protégées par des grillages, ont été brisées.
Des pierres ont été retrouvées dans l’édifice, qui n’a pas subi d’autres dégradations. Il est difficile de dater les faits car le temple, une grande salle qui a été dédicacée en 1820, n’est plus utilisé régulièrement. Le maire a déposé plainte à la gendarmerie de Vélines.
Source : Sud-Ouest