Plus de conflits sociaux et plus de tags. L’équation est imparable dans les villes françaises, notamment à Lyon où en près de 1000 interventions les équipes de la mairie ont effacé 24.000 mètres carrés de tags, notamment liés aux manifestations en centre-ville et à l’activisme des mouvements d’extrême-gauche.
Parmi eux, des tags sur des églises, mais aussi des cimetières comme celui de la Guillotière où des militants féministes sont allées écrire, on ne sait pourquoi, des statistiques sur les agressions sexuelles. Sans doute pour que les défunts puissent suivre l’actualité…
Il s’agit aussi d’une réponse aux habitants du centre-ville qui accusaient la mairie centrale d’inaction face aux tags.