Lors de la manifestation anti-pass sanitaire, une quinzaine de manifestants groupés autour d’une bannière Civitas – un mouvement politique catholique – ont été attaqués par une dizaine d’individus tout de noirs vêtus, visages dissimulés, d’abord au début de la manifestation – ils ont été écartés par d’autres manifestants – puis aux abords de la Préfecture.
Par la suite, le petit groupe d’assaillants a été retrouvé place Graslin, en train de chercher de nouvelles cibles dans la foule. Très “courageux”, ces attaquants ont tabassé jusqu’au sang un adolescent et une personne âgée, avant d’être mis en fuite par d’autres manifestants.
Sur Telegram, la page d’annonces Gilets Jaune bretonne t.me/mvtBZH commente cette agression : “ce genre d’action idiote fixe les cortèges et permet aux FDO [forces de l’ordre] de gazer et de faire [des] arrestation[s] car il y a usage de violence et décourage les manifestants pacifiques de venir. De quel côté sont ces cagoulés?”
L’un des agresseurs aurait été reconnu par des témoins, indique la page Telegram du Salon Beige (t.me/lesalonbeige). Il s’agirait d’un des fondateurs du groupe d’ultra-gauche Nantes Révoltée, fils d’une ex-élue nantaise, qui en 2017 déplorait que ses collègues d’ultra-gauche qui avaient attaqué un bus avec des militants FN qui allaient à un meeting à Nantes ne l’aient pas brûlé complètement. A l’époque sa mère, alors élue municipale, s’extasiait sur ses photos où il revendiquait la destruction des banques. Depuis ce jeune bourgeois qui a des lettres a commis des poèmes sous cocaïne. Sans commentaire…