Les tagueurs non plus n’échappent pas à l’abêtissement général. Dans la nuit du 26 au 27 novembre, des tags anti-chrétiens écrits en langage SMS, dont “ABA GZU”, ont été découverts sur le mur de l’église de Mauléon-Licharre (64) dans le Béarn.
“Des inscriptions en phonétique « P Do Fil’s Team » («équipe de pédophiles ») en référence aux conclusions de la commission Sauvé sur la pédocriminalité dans l’Église, et « ABA GZÜ » («à bas Jésus »), que la gendarmerie a pu constater avant d’ouvrir une enquête. Sur la salle de prière des musulmans d’Oloron-Sainte-Marie, c’est une énigmatique inscription « Libre » qui était découverte“, précise Sud-Ouest.
Un énigmatique “Libre” a été découvert sur la salle de prière musulmane, le tag inachevé signifiant peut être que l’auteur ait été dérangé dans son action. Le curé a condamné brièvement mais fermement les tags : “c’est tellement lâche”, s’est-il exclamé dans la presse locale.
A ce jour en France, des tags en lien avec le rapport de la CIASE n’ont été signalés qu’en deux endroits – à Lyon où ils ont été réalisés au pochoir sur l’église sainte-Blandine, une technique fréquemment employée par l’ultra-gauche, et à Nantes où le lycée Saint-Stanislas, navire amiral de l’enseignement diocésain, a été visé par des tags deux fois en six semaines, avec des accusations précises de viols et des dates, sans que le diocèse ni les autorités ne daignent réagir.