Le 10 mars dernier, des « féministes anti-capitalistes » ont tagué avec des inscriptions obscènes l’arrière de l’église Saint-Leu saint Gilles à Paris.
Parmi les tags relevés, « nik tout » (sic), « les prisons en feu, Macron au milieu », « féministes anticapitalistes » ou encore « mange mes règles sur tes pates bolo » (re-sic).
La graphie des tags rappelle celle d’un groupe de tagueuses anarchistes-féministes qui sévit depuis les manifestations contre la Loi El Khomri (2016), notamment à Nantes et Paris.
L’association de jeunes catholiques FIDE a proposé son aide pour le nettoyage de l’église ; cette nouvelle attaque anarchiste contre les lieux de culte a suscité une intense émotion, d’autant qu’elle intervient en plein Carême.
Source : Valeurs Actuelles
Je serais curieux de savoir comment ces nobles et brillantes femmes avortent à tour de bras (car elles ne peuvent qu’être de ferventes adeptes de cette scandaleuse pratique!), sans passer par les établissements le pratiquant, qui n’existeraient pas sans ce capitalisme qu’elles exècrent?