La restauration des oeuvres d’art ne réussit guère aux fidèles espagnols – après l’Ecce Homo défiguré par une fidèle dans le village de Borja, qui avait fait le tour du monde – et sur lequel elle touchera des droits d’auteur, c’est l’église romane de Castillo de Castronuño, en Espagne toujours, dont les fissures extérieures ont été colmatées au ciment.
Ce que dénoncent des militants du patrimoine, passablement énervés, sur les réseaux sociaux. En réalité, comme le rappelle France Info, au contraire de la France, il n’y a pas de loi pour définir quels sont les professionnels agréés pour intervenir sur les monuments classés, et avec quels matériaux ou techniques. Donc, n’importe qui peut le faire, et au pis, il ne risque qu’une amende. S’ajoute à ça le manque de moyens généralisé pour l’entretien d’un patrimoine historique pourtant important.